lundi 24 janvier 2022

Tristesse écologique et économique

Les clôtures de haies de figuiers de Barbarie faisaient partie du décor de Mirandilla. La satanée cochenille de carmin (kermes vermilio) a tué la totalité de ces plantes dans tout le sud de l'Europe.

Du coup, pour les remplacer, ce sont des kilomètres de clôtures qu'il faut poser ... 

Tristesse écologique et ... économique!

Les haies de figuiers de barbarie de Mirandilla il y a quelques années


Les mêmes haies aujourd'hui ...


Clôtures avec piquets, mailles et barbelés. Tristesse écologique ... et économique

 

mercredi 19 janvier 2022

Le Club taurin "3 puyazos" pour une tauromachie intègre

En juillet 2020, une quarantaine d'aficionados espagnols mais aussi de France, créent le club taurin "3 puyazos".

Le nom du club impose immédiatement une priorité : la phase des piques.

Et son slogan détonne dans le milieu taurin espagnol classique ... "La tauromachie de l'aficionado, organisée par l'aficionado"

Tellement rare de nos jours ...

Pour concrétiser ce projet, le club va programmer une journée complète en juin avec une novillade et une corrida en mode "défi". Cela sera dans les arènes de San Agustin de Guadalix au nord de la province de Madrid.



N'hésitez pas à consulter le document de présentation de ce club taurin à la philosophie anachronique mais qui fait tellement de bien par les temps qui courent d'une tauromachie "prévisible" ...

Clicker sur le lien suivant :

https://twitter.com/3puyazos/status/1456022707187945479/photo/3


mardi 11 janvier 2022

Patricia nous a quittés

Patricia au fer à Mirandilla

Avec Léa (premier rang, 1º à partir de la droite) et Richard
(dernier rang, 3º à partir de la gauche)
après un herradero à Mirandilla































































J'avais connu Patricia et son mari Richard à l'occasion de leur voyage de noces. Je les avais reçus à La Calera pour une belle balade à cheval au milieu des taureaux de Lora-Sangrán.

Nous nous étions retrouvés pour l'aventure Torrito Afición dont, avec leur fille Léa, ils ont été membres fidèles et actifs. Nous nous retrouvions avec plaisir à Mirandilla, dans les bars du village de Gerena, à Nîmes lors des assemblées générales ou dans quelques arènes françaises où étaient présentés les taureaux d'Albaserrada.

Férue de tauromachie espagnole, c'est pour sa passion du cheval camarguais, de la culture de la Provence et surtout de la tradition du costume Arlésien (qu'elle portait à merveille) que Patricia restera dans mon souvenir.

J'envoie depuis Mirandilla, à Léa sa fille et à Richard son époux, la bravoure nécesaire pour assumer cette perte terrible. 

Patricia restera à jamais dans nos cœurs.

Patricia à La Calera en 1995

Patricia pour toujours à Mirandilla