mercredi 15 décembre 2010

Los siete magníficos, huit jours à Mirandilla


Vendredi 24 septembre 2010



Découverte du chantier des corrals de Mirandilla. Finca magnifique … Nous nous sommes dits, on va en baver ... surtout pour ceux qui ne viennent pas de la corporation de la maçonnerie.






Composition de l’équipe type (un vendeur de pneus, quatre retraités, un patron d’hôtel, deux docteurs, un vendeur en matériaux et un comptable). Nos compétences étant plus que limités, seule notre volonté de fer pouvait nous permettre d’y arriver … Mais bon on s’est lancé pour toi Fabrice et on y est arrivé … Quel bonheur de passer huit jours au milieu du campo, entre les sementals qui te regardent, la horde furieuse d’anoubles et les machos qui chargent avec plein de bravoure sur les apprentis maçons !!!!



Quelques jours plus tard



Et puis comme une faena qui se dessine, le mur a pris forme après une lidia correcte dira-t-on … Les journées sont souvent allées « a más », surtout en matière de rigolades, d’allergies aux herbes, de maux aux jambes et de coups de soleil …





Enfin, une semaine inoubliable qui a fini en apothéose avec l’Heraderro au sein de la finca, avec la 1ère ligne cévenole intergénérationnelle menée par Henry, Gérald et Greg… ; Il est vrai que parfois certains placages étaient pas très catholiques, mais bon l’entrega et le pundonor était tellement important que ça a compensé le manque d’expérience et de pratique !!!! Nous sommes prêts pour la revanche hivernale……de même pour l’apéritif final !!!!!!



Voila, nous nous te remercierons jamais assez pour ton hospitalité, ta gentillesse et ton afición…
Nous sommes prêts pour les 11 prochains travaux d’Hercule.

Los Siete Magníficos

lundi 13 décembre 2010

Chevaux de combat

En visitant votre ganadería et en lisant votre livre TORO je m’aperçois que l’art de la tauromachie est dans la même déconfiture que notre équitation de tradition française dans laquelle les chevaux doivent répondre à une certaine mode fabriquée en élevage.

On s’éloigne du but du dressage de Louis XIV qui était de former des chevaux de combats.
A l’heure actuelle je doute fort que nos enseignants reconnus par la Fedération Française d’Equitation soient capables d’aller à la guerre affronter l’ennemi.

Ce que vous ressentez dans les arènes, je le ressens sur les terrains de concours : aucune émotion, aucun brillant, un travail monocorde et stéréotypé, soit disant adeptes de l’équitation de tradition française. Le célèbre écuyer du roi Robichon de la Guérinière doit être bien malheureux dans sa tombe.

J’assiste assez régulierement aux corridas de Nîmes ou Arles et il est vrai que neuf fois sur dix en sortant de l’arène, je suis déçu et ne souhaite plus revenir. Toujours la même réflexion autour de moi : les toros ne valaient rien. Est-ce que cette raison est bien valable? Je ne sais pas, je n’ai jamais su, ce qu’était une corrida qui doit véhiculer émotions, noblesse et passion (celle que vous m’avez décrite)

Dans votre livre la sincérite de votre ambition est énorme et donne envie de voir dans cinq ans le résultat de votre sélection. A bientôt donc et courage.

Encore merci.

Denis Laugier.

dimanche 12 décembre 2010


Hola, soy Joxian Gallo de Donostia San Sebastian, amigo de Manuel Morgaz, el mayoral de Lora Sangrán. Quise darle mi enhorabuena en un comentario en su blog pero no lo conseguí. Me encanta leer lo que cuenta y las fotos que cuelga en su blog.


Suelo hablar por teléfono con Manuel que me cuenta las historias de herradero, saneamiento, etc.........


Espero que no les haya afectado mucho las inundaciones. Sí que ayer pude ver por internet un video por una zona por la que he viajado, por Constantina, en la que se veía la carretera de acceso a Dolores Aguirre (Dehesa Frías) o Espartaco (Majavieja) inundadas.


Bueno Fabrice, un abrazo muy fuerte y mi enhorabuena por su blog que me ayuda a situarme en ese precioso lugar y magnifica gente.


Muy atentamente.




Joxian.

jeudi 9 décembre 2010

Vu à Mirandilla aujourd'hui

























Duque, un exemplaire calcetero, coliblanco, bragado, meano, axiblanco. Un des derniers vestiges d'une origine Sanchez Cobaleda des Marquis d'Albaserrada