Texte d'Arlette Chavanieu
On se sent mieux
Arriver dans ce village de la communauté madrilène après le désastre de Riscle n'était pas anodin. Comment allions nous trouver notre Mayoral ? Comment allaient se comporter les toros ? Surtout le second du sorteo, frère de ceux sortis dans le Sud Ouest ?
Saison terminée pour le Mayoral! Difficile et stressante. |
OUF ! Les choses se sont passées du mieux possible. Non, la course n'a pas été un triomphe, mais elle n'a pas non plus été une honte. La prestation que nous redoutions n'a en rien rappelé Riscle et le troisième pensionnaire de Mirandilla a renversé la cavalerie avec une force et une détermination qui, malheureusement, a fait que les trois autres toros ont été massacrés à la pique. Il faut dire que lorsque ces toros sortent, ils sont magnifiques et fougueux au point de foncer sans freiner dans les burladeros. Las, ceux d'Arganda sont en fer, ce qui a valu des craquements sinistres à quelques uns de ces magifiques spécimens.
Avant le sorteo. Eduardo Guillén, le fondateur de la feria de novilladas (1988), le Mayoral, la Ganadera, des membres de la Mairie d'Arganda avec Jesús Cañete, Directeurr technique des spectacles taurins. |
Patrie des recortadores
Petite curiosité, les soubassements des gradins constitués de barrières métalliques, type encierro, qui laissent le passage à un homme de profil. Au début on se demande à quoi elles peuvent servir. Mais lorsque le sixième toro est sorti on comprend mieux. Tout le monde descend dans la piste discute, rigole. Les enfants jouent tous au toro, au torero, manipulent de tout petits capotes à leur taille. Durant ce moment de communication tous azimuts, les équipes municipales démontent les protections en bois qui marquaient le pourtour de la piste. Et tout le monde remonte pour assister à la sortie du sobrero. Il est destiné à la population dont certains éléments sont fascinants. Technique, agilité, courage, cela donne de magnifiques écarts, et voire quelques rasets à la provençale. Il faut dire que la population est aguerrie, puisque tous les matins, c'est un encierro des toros du jour qui ouvre les réjouissances. Un conseil ... n'hésitez pas à vous organiser pour participer à la féria de novilladas 2018.
Petite curiosité, les soubassements des gradins constitués de barrières métalliques, type encierro, qui laissent le passage à un homme de profil. Au début on se demande à quoi elles peuvent servir. Mais lorsque le sixième toro est sorti on comprend mieux. Tout le monde descend dans la piste discute, rigole. Les enfants jouent tous au toro, au torero, manipulent de tout petits capotes à leur taille. Durant ce moment de communication tous azimuts, les équipes municipales démontent les protections en bois qui marquaient le pourtour de la piste. Et tout le monde remonte pour assister à la sortie du sobrero. Il est destiné à la population dont certains éléments sont fascinants. Technique, agilité, courage, cela donne de magnifiques écarts, et voire quelques rasets à la provençale. Il faut dire que la population est aguerrie, puisque tous les matins, c'est un encierro des toros du jour qui ouvre les réjouissances. Un conseil ... n'hésitez pas à vous organiser pour participer à la féria de novilladas 2018.
Arganda : passion pour le recorte
Photos de la novillada (locurataurina.blogspot) :
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Joli reportage Arlette qui nous rassure tous sur le moral mis à dure épreuve ces derniers temps de notre Ami Farice
RépondreSupprimerAbrazos fuertes à todos
Effectivement une course intéressante. Motivante pour l’avenir
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