Ce fut une de ces visites à Mirandilla qui vous marquent. Pierre Mondy apparut avec son épouse alors que je ne les attendais pas.
Immédiatement, j'ai aimé cet homme. Simple, sensible, sans parures. Ils aimaient, surtout lui, je ne sais pas pourquoi, les taureaux et la corrida.
Dès que nous sommes entrés dans l'enclos luxuriant où paissaient tranquillement les taureaux de deux ans, le commissaire Cordier, assis à mon côté, sans se retourner, extasié, lâchat à son épouse, .. "Catherine, regarde ces taureaux, ... elle est pas belle la vie!"
Beau, simple et vrai, ... un GRAND.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire