samedi 30 janvier 2010

Fabrice Torrito dans Libé, par Jacques Durand...

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1 commentaire:

  1. dédé1 février 2010 à 22:28

    Cher Fabrice,

    Je connaissais tes problèmes à MIRANDILLA, je pensai que cela allait s'arranger, maintenant j'en suis certain.

    Il est vrai qu'il est facile à 1500Kms avec des "y a qua" "il faut" mais si chacun se sent concerné, chacun apporte sa pierre à l'édifice.

    L'édifice c'est toi qui l'a fait.

    Tu as voulu le faire, tu as su le faire.

    La passion est une chose mais pour arriver où tu es arrivé, il faut un peu plus.

    Comme l'empereur romain "Veni Ve..." en français tu as vaincu.

    Ta victoire, c'est la confiance d'un éleveur espagnol issu de la noblesse andalouse qui n'hésite pas à confier son prestigieux élevage à un "exporté français".

    Que de chemin parcouru depuis ce jour d'Avril 1992 où je t'ai connu, sous le ciel Sévillan, avec comme compagnon de voyage, ta passion, ta volonté et ton sac... que l'on a bien failli oublier d'ailleurs.

    C'était le premier jour des "Farolillos", on allait manger à l'appartement d'un célèbre éleveur espagnol aux attaches française, déja... un symbole.

    Bien à toi.

    Dédé

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