María del Buen Consejo Benjumea Maestre, plus connue comme
Maruchi, tient à remercier de tout cœur les innombrables messages de
condoléances qu’elle a reçus tant de France que d’Espagne, après le décés de
son époux José-Luís García de Samaniego y Queralt, Marquis de Taracena et
responsable de la ganadería des Marquis d’Albaserrada.
Dans ces moments difficiles, lire et entendre autant de
témoignages de sympathie envers la figure de son mari disparu a constitué pour
elle une aide psychologique fondamentale.
Les Marquis et leur Mayoral. L'aventure continue ... (Photo Julie Bérard) |
Il y a cinq ans, lorsque la santé de son mari s’est
détériorée, elle a pris la direction de l’élevage et épaulée par son fidèle
mayoral Fabrice Torrito, est parvenue à refaire lidier ses bêtes en novillada
et corrida en France.
Pour elle, il est fondamental que l’esprit que son mari
avait insufflé dans les prairies de Mirandilla, soit toujours présent :
authenticité, romanticisme, pureté, intégrité du taureau, cornes, caste,
bravoure, …
Entourée par le neveu de José-Luís, Hippolite García de Samaniego, ses amis
intimes, l’afición toriste française et espagnole, les membres du club taurin
Torrito Afición, son mayoral, ses vachers, Maruchi n’a aucun doute sur la
direction à suivre que lui avait marqué le Marquis.
Elle est consciente que ce chemin choisi n’est pas le plus
simple, mais elle est convaincue qu’avec foi et passion, son effort sera
récompensé et ainsi la mémoire de son époux respectée et dignifiée.
Que de cette douleur naisse tant de détermination mérite respect et admiration pour Maruchi.je ne doute pas un seul instant qu' avec les soutiens qu'elle a et cette force de caractère, la réussite ne peut qu' être au RDV.
RépondreSupprimerCe sont les vœux sincères que je tenai à affirmer aujourd'hui.
Émile
sûre que l'ombre de votre mari, ce si grand Monsieur, planera toujours au-dessus de cette ganadéria et vous donnera la force de poursuivre son oeuvre. Je n'oublierai jamais ma visite chez vous et combien moi et mes amis avaient été bien reçus. Courage Madame .Je vous embrasse très affectueusement et respectueusement. Maryse
RépondreSupprimerMerci au Marquis pour avoir dépassé les codes et les préjugés et à son épouse de poursuivre l'oeuvre accomplie.
RépondreSupprimerIl en fallait du courage et de l'abnégation pour éviter les pièges du toro-commercial, et confier son carnet à un jeune français passionné.
Nous serons avec vous tous pour perpétuer ces élans passionnés et romantiques.
Christophe André