Javier, mon contact, mon amphitryon sur Madrid et l’instigateur de mon invitation.
Facundo et ses carnets, ses dessins, véritables encyclopédies des toros qui foulent le ruedo de Las Ventas*.
Fausto et sa digne et brave tristesse pour la perte de son ami Salva.
"El Rosco", le Président, qui même devenu "demi-Rosco", impose toujours sa tonitruante présence. Et quel moment magique que cette transmutation en Isleño, un toro de Tulio qui l’avait bouleversé. "Rosco", quel trot altier!
Manuel et ses mots d’introduction empreints de poésie.
Octavio, mayoral de l’élevage Flor de Jara, un passionné du campo et de l’encaste* Santa Coloma.
Angel, journaliste au gendre français avec qui avons évoqué les successives arènes de Paris et sa région.
La jeune génération d'adhérents, à l’aficion profonde débordante, qui assurera la relève.
Mes prédécesseurs à cette tribune, dont la seule évocation me fait trembler d’émotion: Villán, Zabala, Montesinos, El Cid, Esplá, Rincón, Escolar Gil, Victorino, Folque, …
Salva, le fondateur dont la présence éternelle a plané sur la soirée.
Tous les autres dont je n’ai pas retenu le nom, mais qui avec une parole, un regard, une poignée de main, un signe de la tête, m’ont communiqué leur soutien dans mon aventure.
Casa Patas, ce temple madrilène du flamenco, ses planchers en bois, ses taconeos*, ses complaintes chagrines, ses effluves de transpiration, ses larmes, ses gorges sèches. Combien d’intenses moments d'art tragique suintent de ces parois? Flamenco pur et tauromachie classique. L’association ne pouvait trouver un lieu plus idoine pour se réunir!
A tous les membres et sympathisants de l’association EL TORO DE MADRID, merci pour votre gentillesse, pour votre culture, pour votre sobriété, pour votre sincérité, pour votre honnêteté, pour votre dévouement à l’animal-roi, pour votre foi en une corrida authentique, pour votre credo en un spectacle intègre, sans fard, sans tricherie: l’affrontement d’un torero macho et du TORO de caste. Ce fut un immense honneur pour moi de vous rencontrer et de partager cette veillée. Cette tertulia* restera un des moments fondamentaux dans mon parcours en aficion toriste.
Je repars de Madrid gonflé de moral. La Fiesta* n’est pas prête de s’éteindre. La flamme du Toro brûle encore et pour bien longtemps me semble-t-il.
Facundo et ses carnets, ses dessins, véritables encyclopédies des toros qui foulent le ruedo de Las Ventas*.
Fausto et sa digne et brave tristesse pour la perte de son ami Salva.
"El Rosco", le Président, qui même devenu "demi-Rosco", impose toujours sa tonitruante présence. Et quel moment magique que cette transmutation en Isleño, un toro de Tulio qui l’avait bouleversé. "Rosco", quel trot altier!
Manuel et ses mots d’introduction empreints de poésie.
Octavio, mayoral de l’élevage Flor de Jara, un passionné du campo et de l’encaste* Santa Coloma.
Angel, journaliste au gendre français avec qui avons évoqué les successives arènes de Paris et sa région.
La jeune génération d'adhérents, à l’aficion profonde débordante, qui assurera la relève.
Mes prédécesseurs à cette tribune, dont la seule évocation me fait trembler d’émotion: Villán, Zabala, Montesinos, El Cid, Esplá, Rincón, Escolar Gil, Victorino, Folque, …
Salva, le fondateur dont la présence éternelle a plané sur la soirée.
Tous les autres dont je n’ai pas retenu le nom, mais qui avec une parole, un regard, une poignée de main, un signe de la tête, m’ont communiqué leur soutien dans mon aventure.
Casa Patas, ce temple madrilène du flamenco, ses planchers en bois, ses taconeos*, ses complaintes chagrines, ses effluves de transpiration, ses larmes, ses gorges sèches. Combien d’intenses moments d'art tragique suintent de ces parois? Flamenco pur et tauromachie classique. L’association ne pouvait trouver un lieu plus idoine pour se réunir!
A tous les membres et sympathisants de l’association EL TORO DE MADRID, merci pour votre gentillesse, pour votre culture, pour votre sobriété, pour votre sincérité, pour votre honnêteté, pour votre dévouement à l’animal-roi, pour votre foi en une corrida authentique, pour votre credo en un spectacle intègre, sans fard, sans tricherie: l’affrontement d’un torero macho et du TORO de caste. Ce fut un immense honneur pour moi de vous rencontrer et de partager cette veillée. Cette tertulia* restera un des moments fondamentaux dans mon parcours en aficion toriste.
Je repars de Madrid gonflé de moral. La Fiesta* n’est pas prête de s’éteindre. La flamme du Toro brûle encore et pour bien longtemps me semble-t-il.
Las Ventas : nom des arènes de Madrid.
Encaste : tronc d’origine dans la race du taureau brave. Espèce.
Taconeo : art de taper des pieds (talon et pointe) dans le flamenco.
Tertulia : discussion entre plusieurs personnes.
La Fiesta : la fête. Signifie la tauromachie au sens large, considérée comme la fête nationale en Espagne.
ce trophée est magnifique, lourd de sens...il vaut toutes les finales perdues de coupe Gard Lozère...
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