C'est dans cette Andalousie noyée sous un déluge de pluie que nous avons débarqué à Mirandilla un matin de fin février 2010. La fange du campo était ramollie par cette incessante eau venue du ciel mais tu as quand même pris le temps de nous dépeindre la vie au cortijo, l'économie autour du Toro de Lidia ainsi que ton vrai projet pour retrouver l'origine de l'Albaserrada et lui rendre son lustre d'antan… sans oublier les soins donnés à ces bêtes avec professionnalisme et la petite Princesa adoptée par Chico.
Écouter ainsi tes commentaires avisés sans forfanterie mais pleins de sagesse nous a permis d'oublier le temps de quelques heures que depuis 50 ans cette merveilleuse contrée n'avait pas reçu autant d'eau en si peu de temps mais surtout a éclairé un peu plus notre lanterne qui rouillait forcément sous ce ciel gris foncé.
Cette idée de tendre à l'idéal en comprenant le réel me va si bien que nous avons déjà pris rendez vous, autour d'un verre de manzanilla, à Madrid sous 10 ans pour revoir ces toros qui mériteront Las Ventas sans aucun doute le moment venu…
Écouter ainsi tes commentaires avisés sans forfanterie mais pleins de sagesse nous a permis d'oublier le temps de quelques heures que depuis 50 ans cette merveilleuse contrée n'avait pas reçu autant d'eau en si peu de temps mais surtout a éclairé un peu plus notre lanterne qui rouillait forcément sous ce ciel gris foncé.
Cette idée de tendre à l'idéal en comprenant le réel me va si bien que nous avons déjà pris rendez vous, autour d'un verre de manzanilla, à Madrid sous 10 ans pour revoir ces toros qui mériteront Las Ventas sans aucun doute le moment venu…
Abrazo fuerte y suerte amigo.
Jean-Michel ANDRIUZZI
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